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Blog qui partage quelques expériences sportives sans prétention, du triathlon, et du cyclisme

L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110

Publié le 23 Juillet 2019

l'étape du Tour, la cyclo des superla"xa"tifs, si particulière par bien des égards : son engouement unique, son nombre de participants, sa multinationalité, son parcours  tant redouté, son organisation et l'organisation qu'elle nous demande, un défi personnel, propre ou sale à chacun, une épreuve abordée avec des débordements d'émotions telle une piscine cote d'Azurienne, de l'humilité, de l'incertitude d'Heisenberg, en espérant ne pas être mort et vivant à la fin.

Le menu

Le menu

Le menu : 

135 km, 4500m de D+, soit un ratio de 33,3m d'ascension au kilo, soit un Pic Saint Loup de 135 km de long entrecoupé de 2 descentes ; mais cette équivalence, telle une comparaison hasardeuse au fameux "terrain de foot" ne reflète pas le terrain, l'irrégularité des bosses accentuant le "problème" rencontré.

Une montée de 42 km, partant d'Alberville, avec des passages plats au départ, des bosses un neuf faut plat de 10/12 pitons de la fournaise, même une redescente dans Roselend ; le col de 10 km de notre Dame du pré, anodin sur le papier, et la montée finale de 35km sur Val Thorens.

Le profil n'a donc rien à voir l'an dernier, qui avait 170 km avec 4 cols classiques, donc plus court avec des % plus importants. le D+ était plus retreint malgré 35km de plus.

Donc : moins d'intensités ( plutôt avantageux ) et plus d'endurance musculaire ( moins avantageux ).

La préparation : 

Pour l'entrainement, ça sera du D+ en Cévennes une fois par semaine, en augmentant progressivement le D+ chaque semaine, ainsi que le temps de montée, 5 CDV, sortie de 5h, Aigoual, Luzette, ça finira par 2 Ventoux 10 jours avant, sortie rassurante.

Durant ces sorties, le calibrage hydrique, alimentaire, les braquets, les allures et les sensations. Je reviendrais plus tard sur cet entrainement, insuffisant.

Peu d'intensité i4, entrainement d'endurance musculaire, mon point faible, et des tours de récup en i1/i2 avec un Tiramisu taquin, 60% FcMax. environ 10h semaine.

J'ai senti une progression physique sur les 2 mois, une aisance et un bon niveau de forme physique, comme d'habitude, qui arrive en Juin. Quelques tests sur segments courts "les teilles" mais ça demande pas du tout les mêmes qualités, est-ce parlant...?

Psychologiquement ça va pas fort, rien de nouveau. Le vélo est une sous-pape qui évacue le surplus.

L'imprévu : la casse de ma roue sur la bouticycle. Cédric me passe une roue arrière, la veille du départ. Cette roue à un CRL trop court de 2mm, et donc la k7 Miche de 12/30 ne passe pas. ça serait donc en 11/28, ce qui me sera préjudiciable ( Sans pour autant penser que j'aurais été au bout )

La logistique : 

Comme l'an dernier ça se fera avec le club de Balaruc. C'est confirmé, reconfirmé, rerereconfirmé depuis Novembre.

Sauf que..le lundi je reçois un mail de mise en condition du président : Untel va t'appeler. Ha? interrogation, demande d'infos. Réponse : c'est rien.

1er appel de poursuite de mise en condition ( 6 jours avant la course )pour me signaler qu'on est que 4 à participer, que la voiture du club est en panne et que elle sera peut-être pas réparée.. je prends note et comprends..

2 ème appel ( 5 jours avant )  : la voiture du club est réparée mais faut voir si un des vélos passe sur le porte vélo de la voiture. ( on pouvait pas regarder avant? cette voiture ne sert qu'un jour dans l'année?)

3 ème appel : le vélo ne passe pas, du coup il faut prendre une voiture perso, 3 places disponibles et a demi mot : démerde toi Benoit pour le trajet. Viens en train me dit-on :D :D. 

Un bon coup de pute.

Je reste courtois, dis que je vais me débrouiller. J'envoi un mail au président concernant la chambre d'Hotel, pour savoir si c'est payé : pas de réponse. Pour moi ça s'arrête ici.

Par chance et bonté d'âme, Fabie et Jl ont une place dans la voiture. Sauvé. Que la préparation tombe à l'eau glacée, la perte de 110 €, et la déception engendrée soient évités, amen ( toi)

Jl me trouve un hébergement le samedi matin sur le trajet.

L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110

L'avant course :

Départ 8h15, arrivé 12h, on se gare très facilement. A défaut de gloire, on retire les dossards ( mon code trucmuche passe pas, normal), puis ballade dans le village, il fait 33°. Il est moins étendu et donc plus dense qu'à Annecy. L'occasion de voir, de toucher, sentir, entendre, bref de mettre son hyperesthésie en émoi.

Droit de Retrait.
Droit de Retrait.

Droit de Retrait.

L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110

On mange dans la galerie commerciale proche, 3 menus. Fabie ça passe au bon prix, Jl, à un prix inférieur, et moi supérieur d'1 €. Normal sup.

Logistique pré course :

Rallier le lieu d'hébergement, déposer ses affaires qu'on reviendra reprendre le lendemain, aller en voiture à Moutiers pour la déposer sur place pour le retour du lendemain, retour sur Albertville, environ 35 km, passage au village pour quelques retouches sur le vélo, puis manger chez nos hôtes, puis préparer le vélo puis dormir.

On dépose la voiture à Moutiers car Val Thorens est une station accessible par une seule route.  Se garer au sommet impliquerait d'attendre de pouvoir redescendre en voiture à partir de 19h, alors qu'une redescente prudente à vélo est autorisée pendant le cortège.

On visionne l'étape du Tourmalaid dans un café en attendant Jérôme et Angelyne. Tout le monde vibre, quelle arrivée.

les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.
les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.
les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.
les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.
les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.
les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.

les 3 mousquetaires. une mousquetaire. une mousse qui atterre. retour. pose photographe. Passage au stand.

Soirée agréable, au calme, sur la terrasse d'un chalaid, visite du chien du voisin qui s'est roulé dans la merde, repart puis reviens shampoiné, repas concocté par notre hôte : Melon, pâtes, poulet, salade, fromage et tartes. Dernier préparatif, dossard, boisson.

 

La "stratégie" de course :

Sans capteur, la gestion va être aux sensations. Je n'utilise le cardio qu'après course, le voir pendant je trouve pas que ce soit utile.

Partir doucement, essayer de chopper des roues jusqu'au pied de Roselend, faire une montée au train en i2/i3, 150 puls. aux sensations ça donne une aisance respiratoire et musculaire, coup de pédale facile, sans accoup, sans accélération, en vélocité.

Arrêt prévu au 2 ème stand, au sommet de Roselend, 42 km., aux alentours de 2h, ce qui a été calibré à l'entrainement.

Faire une descente de 20 km, propre, safe mais pas attentiste, sans relance dans les sorties de virages. essayer de chopper un groupe jusqu'au pied de longefoy. Monter ce col de la même manière.

Aborder la descente très sinueuse prudemment et proprement, pas d'efforts inutiles ; Ravito au 100 ème km, au pied de Val Tho, soit 2h de plus et donc 2 bidons.

Faire la dernière montée comme on peut, avec un éventuel dernier arrêt ravito au 117 ème.

Je n'ai pas grand chose de solide, un gel, 2 mini barres de 80kcal, une barre amande. Je me servirais sur les ravitos.

 

Le matin petit Déj maison :

Poudre d'amande, crème de riz précuite bio, Crème d'avoine précuite bio, crème d'orge précuite bio. on agrémente avec ce qu'on veut, miel, confiture, graine de Chia. Digeste, bon et complet.

 

Fabie Sas 4, moi 5, Jl 10. Départ 7h30-7h37'30-8h15?

Petit déj. le Sas 5 vers 7h30.
Petit déj. le Sas 5 vers 7h30.
Petit déj. le Sas 5 vers 7h30.

Petit déj. le Sas 5 vers 7h30.

La course :description du ressenti et post analyse)

Départ 7h37'30.

Jusqu'au pied de Roselend : 

Après 2/3 km dans la ville on attaque direct. montée de 3km à 6%. je gère mais je suis trop haut au cardio,161, et pourtant un des plus lent de mes contacts.

Replat de 6km à 1%, 154 de cardio, encore trop haut. Etc

Ce départ fait donc 22km à 2%, 157 de cardio. c'est bien haut. je sentais bien que je roulais un poil plus vite que ce qu'il fallait, j'ai fais l'erreur de partir trop vite, en ne pensant qu'aux cols. C'est là que le capteur m'aurait servi.

Cormet de roselend :

 24km à 5% ( avec un début light et 2 km de redescente,) les % moyens affichées sont entre 6 et 8 tout le long. Sur cette partie je monte a la sensation de ventilation, je suis assez à l'aise, les jambes sont bien, je ne fais que doubler sans monter bien vite ; pas d'accélération, rythme constant, tout en 36/28. Après coup...cardio à 162, c'est trop élevé. Mais en 28 je ne pouvais guère pédaler moins véloce car désagréable. Il est certain qu'en 30 j'aurais moins tapé dedans.

L'an dernier le premier col croix de fry faisait 14km à 7%, monté à 12kmh, 143 de moyenne, mais en 12/30.

La vue sur le lac bleu profond, les cascades, la pierre s’érigeant magnifiquement , c'est superbe et c'est pour ça que je suis venu faire cette étape.

J'avais dit à Fabie, il faut arriver au sommet du premier col en étant bien, frais. Et bien ce n'est pas le cas, ces 42km gravis à un trop haut régime m'ont un peu entamé. Je suis pas serein au sommet.

Je ravitaille comme prévu : 2 bidons, la poudre mise en sachet plastique, prends 3 gels et en consomme 2 sur place. Je m'arrête à l'extrémité du ravito, là ou il y a le moins de monde, pas de queue = gain de temps et malgré ça 5' d'arrêt. Rien que pour rejoindre le stand ça prend 2', y'a du monde dans tous les sens qui arrive, qui part, qui gueule, c'est la cohue. Pourtant l'organisation du ravito est mieux pensée : plutôt que d'avoir un seul grand stand, il est morcelé, c'est plus fluide.

La descente : 

Notre hôte nous a brieffé ; tout droit, ça va vite sur la 1 ère partie. 86Kmh en pointe. Le souci est que beaucoup ne savent pas descendre et ne reste pas sur la droite de la route. Je peux comprendre qu'on ai peur, pas envie etc, mais respecter cette règle serait bien, même si chacun a le droit d'être ou il veut. Cela en fait les parties les plus dangereuses. De beaux bouts droits puis pas mal de virages à 180°. 19km avalé en 22'30, 51 de moyenne, sans relances, sans pédaler en fait.

Entre 2 :

Arrivé sur Bourg saint Maurice ; un prémice de crampes. je sais a ce moment là que cela va être très difficile d'arriver au bout, n'ayant fait qu'un tiers des difficultés, 40% , quelque chose comme ça. Je repense aux entraînements, au défi que cela représente, à la médaille de finisher pour ma mamy, au plaisir de finir.

Ici il y a des parties plates, des faux plats à 3%. je roule encore trop vite, 24kmh dans du 3% sur 3 km, 157 puls. je sais que je tape un peu trop haut, et pourtant je continue, je suis le groupe, comme un idiot.

 

La montée/descente de Longefoy : 

Sur le papier : 10 km à 5%. la réalité c'est des km a 10, 11% alternés avec du 7, 8, 2, 3 et même une bonne descente au milieu au on se dit ouf et ou ça repart à 10% pour finir avec 2 km à 6%, un petit Valflau, ici c'est un pont d'autoroute. Saloperie de col. Là encore je tape trop dedans, dans du 10 avec 28 à l'arrière et ce qu'on a déjà fait, pas le choix. les sensations sont bonnes. Arrivé pas loin du sommet les crampes arrivent pour de bons, celles qui se gèrent encore bien. On traverse de superbes villages de Montagne, comme Notre-Dame-Du-Pré. La descente est un amas de virages à 180°, en les prenant à la corde quand c'est possible, je double pas mal de monde, avec environ exactement 3 tours de manivelles en sortie, pas plus pas moins, en multipliant les chances que mes jambes se divisent pas en 4. A ce moment c'est relâchement. Le coup de cul de 500m au pied fait mal, vraiment mal. 

5km sur un billard pour arriver au ravito de Moutiers.

Même opération qu'au ravito précédent, je prends mon temps, 12' ; je sais que rallier l'arrivée va relever du miracle. Ce qui est frustrant c'est que je me sens bien, pas de fatigue particulière, juste ces crampes de putes monophtalmes duétistes, la gauche qui virevolte, la droite qui s'enrhume.

Je bois du coca, des tuc,s du Perrier, ça va mieux! A ce moment j'aurais boire au moins 1L d'un coup, manger et remanger.

La montée de Val Thorens :

Je pars en croisant les doigts pour que les crampes se tiennent à carreaux, mais c'est très irrégulier, ça change constamment, 2, 10, 15% dans un virage, 8, 5, la route est en mauvais état, et à poste riz au riz le cardio trop haut, i4 bas, ça pouvait pas passer. Je tiens 11km et et ça explose, la crampe arrive comme une tsunami de tsumo en surpoids, pied à terre, 10' de souffrances avec des contractions très douloureuses, et c'est rien de le dire. 10' je peux enfin descendre du vélo, me pose. attends, tente de repartir, je fais 400m. Fini! il reste 25km ça sert à rien de s’entêter.

Je m'arrête devant une maison ou les habitants distribuent par hectolitres de l'eau. le type en rouge sur les photos, est resté de 11h jusqu'au dernier cycliste, soit..5 à 6 h au bord de la route à arroser, à autisme asperger. En face là ou il y a la ruche bleu blanc rouge, il y a un robinet, ça fait la queue. Je donne des coups de mains quand je vois que certains sont pas bien, leur dit de s’arrêter, je les ravitaille, peu de lucidité : ils ne le voyaient pas le ravito sauvage. D'autres membres de la famille font sonner les cloches des heures durant. ils tournent au Ricard. un Type s'arrête et bois un Ricard de 20cl cul sec !!! un Jaune pour le maillot jaune.

Je vais rester assis ici, comme ils me l'ont proposé...pendant 2h30. boire presque 3 litres sans pisser. Marque d'une déshydratation. ( Voir discussion )? j'ai chaud, je transpire, peux difficilement marcher, ça fait très mal. A contre coup, c'est une contracture, car 48h après, cela n'a pas évolué, je boite, j'ai mal et les muscles sont durs au toucher.

Cela m'était arrivé une seule fois sur un tri en cap, au mollet.

Je ne verrais passé que jl et Marina. Je l'interpelle pour le prévenir de la situation, qui bien sûr le pénalise.

Au bout de 2h30 je redescends très doucement, croise la procession, les visages marqués, les cyclistes étalés sur les bas coté, couchés sur le vélo à attendre, sur des murets, des motos, des ambulances, défilent les files qui s'enfilent au ravito improvisés par l'habitant.

Moutiers, ballade dans cette ville un peu morne, peu vivante, comme beaucoup de ruralités périphériques ou la désertification industrielle à fait son oeuvre.

Après 5h30, Jl et Fabie, heureux finisher, arrivent enfin à la voiture.

On repasse au chalet, douche papote, puis repartons pour 4h30 de trajet ( bouchon de Liège) pour arriver à 0h30 à Jacou. Je suis exténué.

 

 

L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
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Discussion :

Les causes de cette première abandon, sportive et extra-sportive? les crampes bien sûr mais pourquoi encore et toujours?

Les causes apparentes.

Je pense que 1L/H n'était pas suffisant malgré le calibrage à l'entrainement, car l'intensité, 2 ème facteur, était un peu trop importante, et est plus importante qu'à l'entrainement, ce qui était pas prévu. 157 puls alors que 145 aurait été mieux, environ 10 de moins, comme au ventoux.

Il faudrait faire une biopsie mais même sans ça je sais que je suis pas fait pour l'endurance, j'ai plutôt des fibres rapides, effort court et intenses; ça peut se transformer de rapides en lentes mais cela prends des années, et ce n'est pas 8 séances de d+ à 2000m ou qq sorties à plus de 4h qui vont modifier ma physiologie. Je ne suis pas endurant à intensité moyenne.

Sur un effort de 2' à 5' sur du plat ou faux plat, je sais qu'en amateur peu arrivent à me battre, et plus la durée est longue et plus il y a de D+, plus ça me désavantage, rien de nouveau, mais je voulais aller sur un terrain qui n'est pas le mien.

Un déficit minéral chronique?(Analyse micronutriment?, Vitamine Groupe B)

Un mauvais retour veineux? ( Doppler?)

Une mauvaise conduction électrique musculaire ( EMG?)

un entrainement plus complet, plus ciblé, mais difficile car coûteux en temps et en argent, ce que j'ai pas.

Psychologique? pas le stress de course mais le stress du quotidien, j y suis sujet,avec d'autres "troubles" pour des raisons personnelles.

 

Peut-être qu'avec des modifications je serais arrivé au bout, mais rien de sûr, ces foutues crampes me pourrissent toutes les courses de plus de 2h30. La modification de l'entrainement avec des sorties régulières de 3/4h n'ont fait que reculer de 30' leurs arrivée. sur 70/80 voir 90km cela a été bénéfique, pas plus.

Manger plus de solide, boire plus ( combien?), complémenter avec des sels, partir moins vite, une K7 de 12/30, gestion au capteur.

 

 

L'étape du Tour - 21/07/2019 - Abandon au 110
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